Comment la bonne gestion peut transformer votre équipe et mener à une meilleure performance

Connaitre les bonnes pratiques de gestion d'équipe

Pensez-vous être capable de relever les défis sur la performance de votre équipe ? Ressentez-vous que vos leaders détiennent les bonnes pratiques de gestion d’équipe pour stimuler la performance de votre équipe à l’avenir ? La réussite d’une équipe dépend largement de la manière dont elle est dirigée et managée. Les bonnes pratiques de gestion d’équipe favorisent une meilleure efficacité, une plus grande motivation des membres et une collaboration plus fluide, ce qui conduit à des résultats plus positifs pour l’ensemble de l’organisation.

1) Jouer la transparence

Exemples concrets

Informer l’équipe en temps réel permet à chaque membre de comprendre clairement où en est le projet et quelles sont les prochaines étapes. Cela favorise un environnement de travail ouvert où chacun se sent valorisé et informé.  Cette transparence facilite la progression des tâches car l’équipe de travail peut anticiper les besoins, résoudre les problèmes plus rapidement et travailler de manière plus autonome. 

Certains managers craignent que divulguer trop d’informations pourrait causer des problèmes ou mettre en danger leur position. Pourtant, diriger son équipe implique de savoir déléguer et de faire confiance à ses collaborateurs.

2) Savoir communiquer

Exemples concrets

Une communication claire et régulière donne à tous les membres de l’équipe l’opportunité de comprendre leurs rôles, responsabilités et les attentes qui leur sont associées. Mieux informés, ceux-ci peuvent s’adapter en conséquence. De plus, une bonne communication permet d’éviter les malentendus et les situations suivantes :

Savoir communiquer -exemples de bonnes pratiques de gestion d'équipe

Manque de planification

Certains managers peuvent ne pas accorder suffisamment d’importance à la mise en place de rituels de communication réguliers en raison d’un manque de planification ou de compréhension de leur importance pour le bon fonctionnement de l’équipe.

Priorités mal établies

Dans un environnement de travail souvent chargé, nombreux sont les managers qui préfèrent se concentrer davantage sur les tâches opérationnelles et négliger la mise en place de rituels de communication efficaces, pensant qu’il s’agirait d’une perte de temps.

3) Savoir donner et recevoir des conseils​

Exemples concrets

En appliquant la critique constructive, le manager permet aux membres de son équipe de comprendre leurs points forts et leurs domaines d’amélioration. Ce qui conduit à une amélioration des performances et de l’efficacité de l’équipe et nous préserve des comportements tels que :

Égo ou fierté

Trop attachés à leur propre vision ou méthodes de travail, certains managers sont réticents à recevoir des conseils ou des critiques constructives de la part de leur équipe. Pourtant, améliorer son équipe passe par une communication ouverte et constructive et une culture du feedback. 

Pression pour être toujours en position de force

Dans certaines cultures d’entreprise ou environnements de travail compétitifs, les managers peuvent ressentir une pression pour maintenir une image de force et de compétence constantes, ce qui les empêche de montrer une vulnérabilité nécessaire pour recevoir des conseils.

4) Bonnes pratiques de gestion d'équipe : miser sur le travail d’équipe

Exemples concrets

Parier sur le travail collectif fait également partie des bonnes pratiques de gestion d’équipe, dans la mesure où il favorise la synergie, l’innovation et la résolution efficace des problèmes. Ce qui permettra aux leaders d’équipe de ne pas être confrontés à des situations délicates dans lesquelles on notera :

Miser sur le travail d'équipe pour une bonne gestion

Une priorité aux objectifs individuels

Au sein de certaines entreprises, l’accent est mis principalement sur les performances individuelles plutôt que sur le travail d’équipe, ce qui peut amener les managers à ne pas valoriser suffisamment la collaboration.

Le manque de compétences en leadership collaboratif

Certains managers peuvent ne pas avoir les compétences nécessaires pour encourager et soutenir efficacement la collaboration au sein de leur équipe, ce qui peut les amener à ne pas parier sur le travail d’équipe.

5) Donner l’exemple

Exemples concrets

Un leader doit être le reflet de l’éthique et des valeurs de l’équipe. En agissant de manière exemplaire, il instaure un climat de confiance. Cependant, certaines attitudes peuvent miner la crédibilité du leader et affaiblir l’esprit d’équipe.

Incohérence entre les paroles et les actions

Les managers peuvent dire à leur équipe ce qu’il faut faire, mais s’ils ne le font pas eux-mêmes, cela crée un fossé de confiance et de respect au sein de l’équipe.

Manque de compétences en leadership

S’ils n’ont pas été formés ou n’ont pas développé les compétences nécessaires pour agir de manière exemplaire, certains managers peuvent ne pas savoir comment inspirer et motiver leur équipe par leur propre comportement. C’est la raison prendre l’initiative de se former afin de s’améliorer en tant que manager fait partie des bonnes pratiques de gestion d’équipe.

6) Bonnes pratiques de gestion d'équipe : rechercher l’équilibre et éviter le surmenage

Exemples concrets

Il s’agit ici de prévenir le surmenage en gérant efficacement la charge de travail. Un leader doit être vigilant aux signes de surmenage. Ignorer ces signes peut entraîner une baisse de performance et nuire au bien-être des membres de l’équipe.

s'organiser pour éviter le surmenage

Manque de sensibilisation aux signes de surmenage

Les managers peuvent ne pas être formés pour reconnaître les signes de surmenage chez leurs employés ou ne pas prendre au sérieux les signaux d’alerte. Ce qui peut conduire à une augmentation du risque de burn-out au sein de l’équipe.

Considérer qu’il n’est pas une assistante sociale  

  • Risque de négliger les besoins émotionnels et personnels des membres de l’équipe.
  • Risque de diminution de la productivité et de l’engagement des employés, car ces derniers pourraient se sentir désengagés et peu appréciés en tant que personnes.

Considérer que c’est du personnel et non du professionnel, et qu’il ne doit pas être indiscret quant à la vie privée

  • Risque de manquer des signes précurseurs de problèmes personnels ou professionnels qui pourraient affecter la performance au travail.
  • Risque de créer un environnement où les employés se sentent isolés et peu soutenus. Ce qui peut entraîner une baisse de moral et une augmentation du stress.

7) Développer son propre style en matière de gestion d’équipe

Exemples concrets

L’idée est d’utiliser un style de gestion adapté. Le rôle du manager certes, est d’encadrer et de motiver ses équipes, mais qu’il le fasse en laissant place à l’intelligence collective et à l’autonomie de chacun. Il est important qu’il garde  à l’esprit que gérer une équipe ne signifie pas recadrer et contrôler en permanence, mais plutôt favoriser le travail d’équipe et les échanges entre les équipes.

Absence de réflexion sur l’impact de leur style de gestion

Certains managers ne prennent pas le temps de réfléchir à l’impact de leur style de gestion sur leur équipe et sur les résultats obtenus. Ce qui les empêche d’ajuster et d’améliorer leur approche au fil du temps.

Manque de formation ou de soutien

Dans certains cas, les managers peuvent ne pas avoir reçu de formation adéquate sur les différentes approches de gestion d’équipe ou ne pas bénéficier d’un soutien suffisant pour explorer et développer leur propre style de gestion. Parfois, ils se retrouvent à reproduire ce qu’à fait un précédent manager dont ils sont admiratifs

8) Mettre en place des normes de groupe

Exemples concrets

L’établissement des règles explicites permet de maintenir une dynamique d’équipe saine. Fédérer une équipe autour d’un objectif commun et l’amener à travailler ensemble de manière collaborative en établissant des normes spécifiques, voici à quoi on reconnaît un bon manager. Cette approche permettra non seulement d’atteindre les objectifs fixés mais facilitera le travail d’équipe.

Croyance en l’autogestion

Certains managers peuvent croire que les équipes devraient être capables de s’autogérer sans avoir besoin de normes explicites, ce qui peut les amener à négliger cette responsabilité.

Manque de compétences en gestion

Des managers peuvent ne pas avoir les compétences nécessaires pour élaborer et communiquer efficacement des normes de groupe. Ce qui peut les empêcher de le faire correctement.

9) Favoriser la motivation intrinsèque

Exemples concrets

Favoriser la motivation intrinsèque figure également comme l’une bonnes pratiques de gestion d’équipe. Elle stimule l’engagement et la productivité des membres de l’équipe. Un leader efficace comprend cela, l’applique et s’éloigne des comportements suivants :

bonnes pratiques de gestion d'équipe : stimuler la motivation au sein de l'équipe

Méconnaissance des leviers de motivation individuels

Certains managers ne prennent pas le temps de comprendre les besoins individuels et les motivations de chaque membre de leur équipe. En conséquence, ils négligent de créer un environnement qui encourage la satisfaction interne.

Pression pour les résultats à court terme

Soumis à une pression pour obtenir des résultats immédiats, des managers sont amenés à privilégier des incitations externes rapides plutôt que de créer un environnement propice à la motivation intrinsèque à long terme.

Style de gestion autoritaire

Les managers qui adoptent un style de gestion autoritaire ont tendance à imposer des objectifs et des attentes sans prendre en compte les besoins et les motivations individuelles. Ce qui peut entraver la motivation intrinsèque.

10) Bonnes pratiques de gestion d'équipe : Apporter une vision globale

Exemples concrets

Donner une vision globale apporte un sens et une direction à l’équipe. Cela relie le travail quotidien aux objectifs globaux de l’entreprise et permet aux membres de l’équipe de comprendre comment leurs efforts individuels contribuent à la réalisation des objectifs de l’entreprise.

Manque de leadership

Un manque de leadership peut se manifester de plusieurs manières dans un contexte professionnel. Tout d’abord, un leader peut ne pas être capable d’inspirer et de motiver son équipe. Ceci peut découler d’un manque de compétences en communication, d’un défaut de confiance en soi, ou d’un manque de vision claire pour l’avenir de l’équipe ou de l’organisation. 

Sans une direction solide et inspirante, les membres de l’équipe peuvent se sentir désengagés, perdus ou peu motivés à contribuer pleinement.

Manque eux-même d’une vision globale

Lorsqu’un manager ou un leader ne possède pas une vision globale claire de l’entreprise et de ses objectifs à long terme, cela peut avoir des conséquences néfastes sur l’équipe qu’il dirige. Un tel manque de vision peut entraîner une confusion quant aux priorités et aux objectifs à court et à long terme. Les membres de l’équipe peuvent se retrouver à travailler sur des tâches qui ne contribuent pas de manière significative aux objectifs de l’entreprise. Ce qui peut entraîner une perte de temps et de ressources.

Ces compétences ne sont pas innées, mais elles peuvent être acquises et perfectionnées. C’est précisément ce que notre programme « 52 semaines pour transformer votre approche du management » vous propose. Il transforme vos managers en de leaders charismatiques et authentiques, capables d’inspirer et de motiver leur équipe pour atteindre ensemble les objectifs communs.  Le management ne se résume plus à diriger des équipes et à donner des ordres.

Grâce à des conseils d’experts, vous saurez appliquer efficacement les bonnes pratiques de gestion d’équipe et créer un environnement où tout le monde se sent respecté, écouté et valorisé.